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groupe solo mature sexy de 2025 Bonjour, tout d’abord, je suis Kerim, 19 ans, 172 ans et 68 kg. Je suis un garçon turc dapdar. Je vais te dire comment je t’ai baisĂ© le cul. Ma curiositĂ© a commencĂ© il y a environ 3 ans lorsqu’un grand poilu s’est penchĂ© sur le bus, rien ne s’est passĂ© ce jour-lĂ , mais cela a commencĂ© Ă  Ă©veiller en moi des sentiments diffĂ©rents. À partir de ce jour, j’ai commencĂ© Ă  chercher des suggestions d’hommes poilus Ă  l’air macho. Deux ans plus tard, j’ai commencĂ© Ă  visiter des sites de discussion gay et tout en parlant Ă  de nombreuses personnes lĂ -bas, j’ai commencĂ© Ă  parler Ă  un homme du nom de Rasim, qui est Ă©videmment kurde. Quand il a posĂ© des questions sur la taille et le poids, et quand il a rĂ©pondu, il a commencĂ© Ă  parler abusivement comme si j’allais faire de toi mon pĂ©dĂ©. Il m’insulte constamment comme une boule de pĂ©dĂ©, mais pour une raison quelconque, au lieu de se mettre en colĂšre, je devenais de plus en plus excitĂ©e.

Puis il a dit rencontrez-moi, il y a une place pour le pĂ©dĂ©, alors j’ai juste fait une pipe, mais j’ai dit parce que j’avais peur, d’abord il a refusĂ©, il m’a fait mendier, puis j’ai juste dit frottez-le et il a acceptĂ©. on a parlĂ© sur skype, j’ai ouvert mon cul, il a dit cul qui n’a jamais Ă©tĂ© baisĂ© et il a ouvert sa bite. Ma bouche Ă©tait restĂ©e ouverte. C’Ă©tait quelque chose d’Ă©pais, comme 20 cm. Son aine et ses couilles Ă©taient pleines de poils. Quand il m’a vu comme ça, il a ri et a dit, sont tous des pĂ©dĂ©s pareils, mais je le regardais avec surprise. Puis il a dit allez connard, sors de la maison, viens vite Ă  l’adresse que j’ai donnĂ©e et raccroche. Mes mains et mes pieds se sont emmĂȘlĂ©s, je me suis prĂ©parĂ© immĂ©diatement, j’ai pris mes quelques cheveux, puis je suis allĂ© Ă  Taksim, j’ai cherchĂ© sa maison lĂ -bas, je l’ai enfin trouvĂ©e, je l’ai appelĂ©e et j’ai dit que j’Ă©tais Ă  la porte, Je suis partie, ma chienne est venue Ă  mes pieds, a-t-elle dit. Il a ouvert la porte, je suis entrĂ©, je suis descendu d’un Ă©tage, il a ouvert la porte, il m’a giflĂ© le cul pendant que j’enlevais mes chaussures, ça m’a fait trĂšs mal.

J’ai dit lent, mais il m’a dit qu’il n’y avait plus rien de plus lent Ă  partir de maintenant, il m’a envoyĂ© dĂšs que je suis entrĂ© dans la porte, il a commencĂ© Ă  frotter mon cul sur mon pantalon, puis il a dit quel cul as-tu, fils de pute, puis il m’a officiellement jetĂ© dans le couloir. À propos, Rasim Ă©tait un homme ressemblant Ă  un ours de 38 ans, ĂągĂ© de 180 ans et pesant 112 livres. Puis il s’est dĂ©shabillĂ© et m’a dit, qu’est-ce que tu attends, dĂ©shabille-toi, pĂ©dĂ©. Quand il s’est assis sur la chaise, il n’avait que des sous-vĂȘtements et des chaussettes blancs aux pieds, ses pieds sentaient et pour une raison quelconque, j’aimais ça, s’il Ă©tait en surpoids, le devant Ă©tait jaune. Accroupissez-vous devant moi, a dit mon garçon. J’ai Ă©tĂ© giflĂ© durement alors que j’essayais de retirer son poids en m’accroupissant devant lui Ă  quatre pattes, mes yeux se sont remplis de larmes, je me suis criĂ© dessus, je t’ai demandĂ© si le fils de pute allait l’enlever, il a dit dĂ©solĂ©, sens ma bite, a-t-il dit.

Il y avait une odeur trĂšs forte, un mĂ©lange d’urine et de sueur, a-t-il dit, puis retirez-le, et quand je l’ai retirĂ©, sa bite poilue est sortie. L’odeur est devenue plus intense, allez, allons-y, sentons mes couilles, a-t-il dit, je l’ai senti comme je l’ai senti, puis ça m’a ouvert la bouche, il a crachĂ©, a-t-il dit, j’ai avalĂ©, puis j’ai lĂ©chĂ© son entrejambe en sueur.

Puis il a criĂ© pĂ©dĂ© et a commencĂ© Ă  le jeter dans ma bouche, ne l’avale pas, il a dit, ne l’avale pas, il a donnĂ© l’ordre d’ouvrir sa bouche, j’ai ouvert sa bouche, il a dit, bravo, mon garçon, avale-le maintenant, je l’ai avalĂ© ohhh mon pĂ©dĂ© a dit que c’Ă©tait moi au fait, ma bite fuyait toujours parce que je n’avais pas remarquĂ© qu’une goutte tombait par terre, pĂ©dĂ© Ă©nervĂ©, qu’est-ce que je t’ai dit, pas une seule goutte ne tombera elle a giflĂ© le sol puis s’est calmĂ©e et a dit salope et s’est rassise j’Ă©tais debout par terre surpris de ce que je vivais d’une part du plaisir d’une part j’Ă©prouvais de la douleur d’une part elle a allumĂ© une cigarette puis elle a dit viens ici pĂ©dĂ© Il a dit qu’il ferait un pĂ©dĂ© parfait en me lĂ©chant le cou. À ce moment-lĂ , sa main Ă©tait sur mon cul. Il m’a giflĂ©. J’ai dit ah, il m’a encore frappĂ©, puis il a dit de cracher sur ma main et j’ai crachĂ©.

Il a crachĂ© bruyamment sur ma jambe pour que le trou soit vide, il a remis la broche dans mon cul, il a commencĂ© Ă  enfoncer son majeur, juste au moment oĂč il allait dire ne le fais pas, il a dit: “Si tu dis un mot, ce sera pire”, a-t-il dit, et il a commencĂ© Ă  piquer, ton cul Ă©tait trop Ă©troit, a-t-il dit, il l’a sorti, puis il m’a lĂ©chĂ© les pieds, a-t-il dit, j’ai commencĂ© Ă  lĂ©cher, puis baisĂ© quand j’ai commencĂ© Ă  me lever, il a dit de me lĂ©cher l’entrejambe des couilles et il frottait sa bite puis il s’est levĂ©, il a tournĂ© le dos Ă  mon cul, il a dit que la langue Ă©tait sortie, il s’est appuyĂ© contre le mur et a commencĂ© Ă  me sucer le cou pendant qu’il attrapait mon cul et giflait mon trou.

J’ai juste eu peur et j’ai dit que tu ne me baiserais pas bien? Ddi a ensuite crachĂ© bruyamment, a de nouveau conduit une bite, il l’a mise dans mon cul, a commencĂ© Ă  la brosser, j’ai commencĂ© Ă  en profiter, il ronflait en frottant, il me suçait les oreilles, il maudissait offensivement, puis il m’a laissĂ© face contre terre, il a dit, mettez un oreiller sous moi pendant que j’Ă©tais allongĂ© sur mon trou, cette fois ta bite collait dans mon trou, tu ne la mettras pas dans mon trou elle a dit, giflĂ©e et a commencĂ© Ă  me presser maintenant je mourais de douleur elle a mis sa culotte dans ma bouche et a essayĂ© de la remettre cracher et a encore essayĂ© cette fois en pleurant comme sa tĂȘte est entrĂ©e, j’ai commencĂ©.

Il a commencĂ© Ă  me dire ne pleure pas, tu vas ĂȘtre un pĂ©dĂ©, tu vas l’aimer beaucoup, quand sa tĂȘte est entrĂ©e, mes yeux se sont assombris, j’ai comptĂ© les Ă©toiles, il a dit, ahh chĂ©rie, je brise ma virginitĂ©, et il a commencĂ© Ă  bouger et il a commencĂ© Ă  bouger, je meurs de douleur, il a sucĂ© mes oreilles et a dit, tu as pris ta tĂȘte dans mon oreille, pĂ©dĂ© Je m’y habituais lentement, je m’y habituais. Je commençais Ă  m’y habituer. Il a dit et soudain il a enfoncĂ© ses couilles dans mon cul, j’ai commencĂ© Ă  crier, il m’a criĂ© dessus, cri de pĂ©dĂ©, mon garçon, personne dans l’appartement, ils ne peuvent pas vous entendre et a commencĂ© Ă  pomper un bruit de claquement de claqueil sortait et je ne pouvais pas m’Ă©chapper.

Je ne pouvais pas m’opposer Ă  l’homme de 100 kilos, puis il s’est levĂ© sans me laisser sortir de mon esprit, il a pompĂ© debout, puis m’a claquĂ© les pieds en s’appuyant contre le mur et en baisant, mais il a continuĂ© Ă  claquer, puis il a appuyĂ© dessus, j’ai portĂ© un toast avec le mur ici, il a commencĂ© Ă  baiser de plus en plus vite, il a dit mendier il a dit pour mon Ă©jaculation et mon sperme, il a commencĂ© Ă  mendier. finalement, il a appuyĂ© fort et sa bite a commencĂ© Ă  battre comme un cƓur Ă  l’intĂ©rieur de moi il l’a appuyĂ© Ă  nouveau puis il l’a sorti et je suis tombĂ© par terre, nous Ă©tions couverts de sueur de sang et tout d’un coup j’ai pĂ©tĂ© parce que c’Ă©tait dur l’homme a dit regarde je vais te baiser pĂ©ter ici il a dit ton sang, il a ri et a renversĂ© son dernier sperme sur moi et s’est assis et a allumĂ© une cigarette pendant que j’essayais de reprendre mes esprits il a dit lĂšve-toi et a jetĂ© mes vĂȘtements Je me suis habillĂ© pendant que le sperme coulait fort sur mon cul mais je ne pouvais pas marcher.

Officiellement, il a dit que cet homme coq kurde ferait cela, il a dit: “Viens, je te frapperai encore le cul, quand il ira mieux, j’ai dit que je ne viendrai pas”, a-t-il dit, “Je viendrai, si tu viens, je te supplierai mĂȘme”, a-t-il dit, “Je te supplierai si tu viens.”Il m’a fait passer la porte, j’ai pris un taxi et je suis rentrĂ© chez moi, mais je ne pouvais mĂȘme pas m’asseoir dans le taxi quand je suis rentrĂ© Ă  la maison avec difficultĂ©, ma culotte Ă©tait un mĂ©lange de sang et de sperme, je l’ai lavĂ©e Ă  l’eau froide. Ça saignait un peu, puis je me suis endormi. 4 jours passĂšrent. Mon cul me dĂ©mangeait officiellement et croyez-moi, je suis allĂ© mendier. Je vous en parlerai une autre fois.

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